
Titre Français : Kaleb
Date De Sortie Française : 14 Juin 2012
Auteur : Myra Eljundir
Nombre De Pages : 442
Note : 5,5/5
Lu en français.
C'est si bon d'être mauvais...
À 19 ans, Kaleb se découvre empathe :
il se connecte à vos émotions pour vous manipuler.
Il vous connaît mieux que vous-mêmes.
Et cela le rend irrésistible.
Terriblement dangereux.
Parce qu'on ne peut s'empêcher de l'aimer.
À la folie. À la mort.
Sachez que ce qu'il vous fera, il n'en sera pas désolé.
Ce don qu'il tient d'une lignée islandaise millénaire le grise.
Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus.
Jusqu'au jour où sa propre puissance le dépasse
et où tout bascule...
Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller ?
Le premier tome d'une trilogie qui, à l'instar de la série Dexter, offre au lecteur l'un de ses fantasmes : être dans la peau du méchant.
Déconseillé aux âmes sensibles et aux moins de 15 ans.
À 19 ans, Kaleb se découvre empathe :
il se connecte à vos émotions pour vous manipuler.
Il vous connaît mieux que vous-mêmes.
Et cela le rend irrésistible.
Terriblement dangereux.
Parce qu'on ne peut s'empêcher de l'aimer.
À la folie. À la mort.
Sachez que ce qu'il vous fera, il n'en sera pas désolé.
Ce don qu'il tient d'une lignée islandaise millénaire le grise.
Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus.
Jusqu'au jour où sa propre puissance le dépasse
et où tout bascule...
Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller ?
Le premier tome d'une trilogie qui, à l'instar de la série Dexter, offre au lecteur l'un de ses fantasmes : être dans la peau du méchant.
Déconseillé aux âmes sensibles et aux moins de 15 ans.
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❧ Mon Avis :
_____Sexy. Excitant. Ardent. Intense. Kaleb, c'est une bombe. Si je devais publier un livre, ce serait un roman comme Kaleb que j'aimerai écrire. Ce thème de l'empathie me touche énormément, ainsi que tous les sentiments forts qui y sont traités. Mais, mon dieu, que ce livre est exceptionnel. En achevant la dernière page hier, j'étais juste dans la brume. Une brume qui sonnait comme une claque. J'étais lessivé. Abasourdi. Fasciné. Choqué. Autant de sensations contradictoires provenant directement de ce petit chef-d'½uvre. Je pense que vous le savez, mes attentes pour Kaleb étaient très élevées. Hé bien il n'a pas fait que brillamment les remplir, il les a surpassé comme rarement un livre l'a fait.
_____La présentation nous informe que nous allons, avec cet ouvrage, passer du côté obscur de la force et être bercés par le Mal. Je ne me doutais pas une seconde à quel point cela allait être vrai, et c'est essentiellement grâce au héros de l'histoire, le fameux Kaleb Helgusson. Il a la beauté des anges et le caractère du diable. Toutes les filles craquent pour lui. Il aime ça. Et il en redemande. Lorsque son don d'empathe va se révéler à lui, il va avoir du mal à comprendre ce qui lui arrive. J'ai adoré découvrir comment ce pouvoir s'est manifesté, ainsi que la façon qu'à Kaleb de l'apprivoiser.
_____Ce qui est saisissant avec ce roman, c'est la façon qu'à Myra Eljundir de retranscrire les sentiments de ses personnages. On erre entre exaltation, douleur et effroi. Les descriptions sont ultra visuelles et sensorielles. Tout est hyper haletant, comme si on regardait un film dans lequel un tas d'images s'entrechoqueraient, et où la tension irait crescendo. Il y a énormément de scènes où l'auteur maîtrise tellement bien son sujet qu'elle parvient à nous rendre nous-mêmes empathes. Si si, je vous assure. Et je peux également vous certifier que c'est bien la première fois de ma vie que j'ai mal aux dents en lisant un roman. Non non, ne prenez pas ce regard surpris. Vous avez bien lu. Certaines scènes de torture sont juste hyper dures psychologiquement, tellement stressantes et poignantes qu'on ressent le mal physiquement. Et, en grand masochiste reconnu que je suis, j'ai complètement adoré ça. Le plaisir dans la douleur. Une phrase qui résume à la perfection tout le livre.
_____Comme dit précédemment, tout est vraiment intense dans ce roman. Et en plus de vivre une foultitude de sensations destructrices, Kaleb va devoir apprendre à contrôler son don et à canaliser ses désirs bestiaux. Étrangement, même si ce personnage est le diable en personne, c'est un protagoniste que j'ai appris à aimer. Même si c'est un véritablement monstre, il ressent énormément d'émotions paradoxales en lui durant une bonne partie du livre. Regrets, désolation, amour, joie... On traverse réellement toute une palette forte de sentiments brutaux et tous plus humains les uns que les autres.
_____Le gros plus de Kaleb dépend aussi des faits réels qui y sont rapportés. Et là... Ô God quoi. J'en suis encore tout retourné ! Myra Eljundir a su détourner avec brio la Peste du XVIIème siècle, ou encore l'explosion du volcan islandais Eyjafjöll. Rien qu'avec ça, j'étais déjà sous le charme. Mais avec tous les autres éléments qui sont entrés en jeu, je n'ai pas seulement été captivé par ce livre. Non, c'était bien plus que ça... Kaleb était devenu une véritable obsession. Un pur bonheur malsain. C'est terriblement excitant de découvrir les émotions des "mauvais" protagonistes. Personnellement, j'ai plus que craqué pour cette idée et pour toutes les sensations addictives qui en découlent.
_____Pour celles et ceux qui se posent la question, oui, il y a bien une histoire d'amour. Ok, elle est complètement déroutante et diamétralement opposée de toutes celles auxquelles nous sommes habitués, mais elle est bien là. D'ailleurs, c'est cette différence avec les autres qui m'a perturbé et irrémédiablement attiré. L'amour qui rend fou. Qui consume. Qui blesse. Qui tue. Je pense que vous avez commencé à le comprendre : j'adore tout ce qui lie des choses impossibles à unir en apparence. L'amour et la mort. La plaisir et la douleur. Et Kaleb regorge d'oppositions comme celles-ci. De quoi me rendre complètement dingue.
_____L'intrigue du roman est juste... Indescriptible. Myra Eljundir nous a brodé une histoire extraordinaire. Je n'ai vu AUCUN rebondissement venir. A chaque fois que j'ai essayé de trouver une réponse avant Kaleb, je me trompais, et pas qu'un peu. J'ai souvent dû poser mon livre quelques minutes pour reprendre mes esprits, souffler et me dire "oh chiasse !". Oui oui, j'étais obligé de jurer tant les surprises sont immenses et les révélations imprévisibles et inouïes. Tout dans cet ouvrage est renversant. Incroyable. Inhabituel. Frappant. Unique.
_____On pénètre véritablement au coeur d'un tourbillon de sensations. Jusqu'à la fin du livre, nous sommes bousculés, poussés en dehors de notre zone de confort, ce qui est juste ensorcelant. Dans les dernières pages, tout s'accélère. Tout devient encore plus saisissant, plus haletant. Chaque ligne nous coupe le souffle et nous déchire le coeur. J'ai refermé le roman avec tout un tas d'émotions encore brûlantes en moi : horreur, passion, choc, surprise, torpeur... Un cocktail mystérieux qui m'a laissé un étrange goût dans la bouche. Mais je sais une chose : j'en veux encore.
_____En résumé, je ne peux pas vous conseiller ce livre. Ô ça non. Je vais vous forcer à vous le procurer. Kaleb est un ouvrage rare et puissant. Les personnages sont juste extraordinaires, l'intrigue est diaboliquement séduisante, et tout n'est qu'euphories violentes. J'ai adoré ce livre. Attendre la suite s'avère déjà atroce. Je suis comme en manque. A travers ses mots, Myra Eljundir a su toucher mon âme et mes émotions. A me rendre accro. Kaleb est une vraie drogue. C'est tellement mal d'éprouver tant de plaisir. C'est si bon d'être mauvais.
_____La présentation nous informe que nous allons, avec cet ouvrage, passer du côté obscur de la force et être bercés par le Mal. Je ne me doutais pas une seconde à quel point cela allait être vrai, et c'est essentiellement grâce au héros de l'histoire, le fameux Kaleb Helgusson. Il a la beauté des anges et le caractère du diable. Toutes les filles craquent pour lui. Il aime ça. Et il en redemande. Lorsque son don d'empathe va se révéler à lui, il va avoir du mal à comprendre ce qui lui arrive. J'ai adoré découvrir comment ce pouvoir s'est manifesté, ainsi que la façon qu'à Kaleb de l'apprivoiser.
_____Ce qui est saisissant avec ce roman, c'est la façon qu'à Myra Eljundir de retranscrire les sentiments de ses personnages. On erre entre exaltation, douleur et effroi. Les descriptions sont ultra visuelles et sensorielles. Tout est hyper haletant, comme si on regardait un film dans lequel un tas d'images s'entrechoqueraient, et où la tension irait crescendo. Il y a énormément de scènes où l'auteur maîtrise tellement bien son sujet qu'elle parvient à nous rendre nous-mêmes empathes. Si si, je vous assure. Et je peux également vous certifier que c'est bien la première fois de ma vie que j'ai mal aux dents en lisant un roman. Non non, ne prenez pas ce regard surpris. Vous avez bien lu. Certaines scènes de torture sont juste hyper dures psychologiquement, tellement stressantes et poignantes qu'on ressent le mal physiquement. Et, en grand masochiste reconnu que je suis, j'ai complètement adoré ça. Le plaisir dans la douleur. Une phrase qui résume à la perfection tout le livre.
_____Comme dit précédemment, tout est vraiment intense dans ce roman. Et en plus de vivre une foultitude de sensations destructrices, Kaleb va devoir apprendre à contrôler son don et à canaliser ses désirs bestiaux. Étrangement, même si ce personnage est le diable en personne, c'est un protagoniste que j'ai appris à aimer. Même si c'est un véritablement monstre, il ressent énormément d'émotions paradoxales en lui durant une bonne partie du livre. Regrets, désolation, amour, joie... On traverse réellement toute une palette forte de sentiments brutaux et tous plus humains les uns que les autres.
_____Le gros plus de Kaleb dépend aussi des faits réels qui y sont rapportés. Et là... Ô God quoi. J'en suis encore tout retourné ! Myra Eljundir a su détourner avec brio la Peste du XVIIème siècle, ou encore l'explosion du volcan islandais Eyjafjöll. Rien qu'avec ça, j'étais déjà sous le charme. Mais avec tous les autres éléments qui sont entrés en jeu, je n'ai pas seulement été captivé par ce livre. Non, c'était bien plus que ça... Kaleb était devenu une véritable obsession. Un pur bonheur malsain. C'est terriblement excitant de découvrir les émotions des "mauvais" protagonistes. Personnellement, j'ai plus que craqué pour cette idée et pour toutes les sensations addictives qui en découlent.
_____Pour celles et ceux qui se posent la question, oui, il y a bien une histoire d'amour. Ok, elle est complètement déroutante et diamétralement opposée de toutes celles auxquelles nous sommes habitués, mais elle est bien là. D'ailleurs, c'est cette différence avec les autres qui m'a perturbé et irrémédiablement attiré. L'amour qui rend fou. Qui consume. Qui blesse. Qui tue. Je pense que vous avez commencé à le comprendre : j'adore tout ce qui lie des choses impossibles à unir en apparence. L'amour et la mort. La plaisir et la douleur. Et Kaleb regorge d'oppositions comme celles-ci. De quoi me rendre complètement dingue.
_____L'intrigue du roman est juste... Indescriptible. Myra Eljundir nous a brodé une histoire extraordinaire. Je n'ai vu AUCUN rebondissement venir. A chaque fois que j'ai essayé de trouver une réponse avant Kaleb, je me trompais, et pas qu'un peu. J'ai souvent dû poser mon livre quelques minutes pour reprendre mes esprits, souffler et me dire "oh chiasse !". Oui oui, j'étais obligé de jurer tant les surprises sont immenses et les révélations imprévisibles et inouïes. Tout dans cet ouvrage est renversant. Incroyable. Inhabituel. Frappant. Unique.
_____On pénètre véritablement au coeur d'un tourbillon de sensations. Jusqu'à la fin du livre, nous sommes bousculés, poussés en dehors de notre zone de confort, ce qui est juste ensorcelant. Dans les dernières pages, tout s'accélère. Tout devient encore plus saisissant, plus haletant. Chaque ligne nous coupe le souffle et nous déchire le coeur. J'ai refermé le roman avec tout un tas d'émotions encore brûlantes en moi : horreur, passion, choc, surprise, torpeur... Un cocktail mystérieux qui m'a laissé un étrange goût dans la bouche. Mais je sais une chose : j'en veux encore.
_____En résumé, je ne peux pas vous conseiller ce livre. Ô ça non. Je vais vous forcer à vous le procurer. Kaleb est un ouvrage rare et puissant. Les personnages sont juste extraordinaires, l'intrigue est diaboliquement séduisante, et tout n'est qu'euphories violentes. J'ai adoré ce livre. Attendre la suite s'avère déjà atroce. Je suis comme en manque. A travers ses mots, Myra Eljundir a su toucher mon âme et mes émotions. A me rendre accro. Kaleb est une vraie drogue. C'est tellement mal d'éprouver tant de plaisir. C'est si bon d'être mauvais.
« Avant d'ouvrir la porte de sa chambre, il se tourne vers elle, pour vérifier qu'il ne rêve pas. Elle plaque alors son corps contre le sien, comme s'ils étaient aimantés. Il actionne la poignée d'une main tremblante et, quand ils sont enfin à l'intérieur, attire la jeune fille à lui. Elle lui rend son baiser comme aucune fille ne l'avait jamais embrassé. Il sait instantanément que la nuit sera torride, comme nulle autre jusqu'alors.
Ce qu'il ignore, c'est que le lendemain, il sera mort. »
Ce qu'il ignore, c'est que le lendemain, il sera mort. »
❧ A savoir :
◦ Ce tome est le premier d'une trilogie.
◦ Un extrait du roman est disponible ici.
◦ La suite devrait sortir en France tout début 2013 !
◦ Deux interviews de l'auteure sont disponibles ici et ici.
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